La mesure a été contestée jusque dans les rangs macronistes, forçant l'exécutif à réagir.

Le gouvernement a donc annoncé une « consultation flash » avec les parlementaires et les collectivités locales. L'objectif affiché est désormais de rendre la réforme « plus transparente, plus claire et plus équitable », et de trouver une solution pour ne pas pénaliser les propriétaires concernés. Cette marche arrière illustre la sensibilité politique extrême de toute question touchant à la fiscalité locale, particulièrement la taxe foncière, qui a déjà fortement augmenté dans de nombreuses communes ces dernières années.