Cette projection marque une étape symbolique, suggérant que Jordan Bardella pourrait réussir à briser le "plafond de verre" auquel Marine Le Pen s'est heurtée lors des précédentes élections.

L'analyse de l'éditorialiste Pascal Praud, citée dans un article, suggère un facteur clé : "Ce qui joue pour lui, c'est qu'il ne s'appelle pas Le Pen". Cette hypothèse de vote témoigne de la manière dont Jordan Bardella, initialement considéré comme un "plan B" pour le parti, a su façonner sa propre candidature et imposer son image. Alors que Marine Le Pen ne lui a pas encore officiellement transmis le flambeau pour la course présidentielle, sa candidature devient de plus en plus plausible et est désormais perçue comme une réelle possibilité de victoire pour l'extrême droite en France.