Âgé de 39 ans et déjà connu des services de police pour des cambriolages, il est soupçonné d'avoir manœuvré le monte-charge utilisé pour s'introduire dans le musée. Son identification est le fruit d'un "minutieux travail d'analyse de la téléphonie et de surveillance" mené par la brigade de répression du banditisme.

Au total, quatre personnes ont été arrêtées mardi, s'ajoutant aux quatre autres déjà mises en examen dans cette affaire.

Cette enquête tentaculaire a également mis en lumière une faille de sécurité majeure.

Un document révélé par la presse indique qu'un audit de sûreté mené en 2018 considérait déjà le balcon par lequel les cambrioleurs sont passés comme un "grand point de vulnérabilité". Cette information accable le musée et soulève des questions sur les mesures de sécurité en place, d'autant que des députés ayant visité les lieux ont constaté des "équipements de sécurité inadaptés".