Face à ce désaveu, la chaîne publique a été contrainte de retirer en urgence la partie incriminée avant la diffusion. L'affaire a provoqué de fortes réactions, notamment de la part de figures de CNews comme Pascal Praud, qui a fustigé les médias ayant relayé l'étude de RSF sans vérification. De son côté, RSF a maintenu son enquête et a annoncé son intention de saisir l'Arcom pour que celle-ci examine ce que l'ONG considère comme des manquements de la chaîne. L'incident soulève des questions sur la méthodologie des enquêtes d'opinion et le rôle respectif des ONG et des régulateurs dans le contrôle des médias.