Ces actions suscitent de vives réactions et s'inscrivent dans un contexte d'élections régionales.
Dans le cadre de sa lutte contre le narcotrafic, Donald Trump a intensifié la pression sur le Venezuela en affirmant que son espace aérien devait être considéré comme « totalement fermé ».
Cette déclaration unilatérale a été immédiatement « condamnée » par Caracas, qui y a vu une « menace colonialiste » américaine.
Cette escalade verbale s'ajoute aux tensions existantes entre les deux pays.
Parallèlement, Donald Trump s'est immiscé de manière directe dans le processus électoral au Honduras.
Il a promis de gracier l'ancien président hondurien, Juan Orlando Hernandez, qui purge actuellement une peine de 45 ans de prison aux États-Unis pour trafic international de drogue.
Cette annonce est perçue comme une tentative d'influencer l'élection présidentielle en cours, en soutenant implicitement le candidat de droite Nasry Asfura.
La candidate de gauche, Rixi Moncada, a vivement dénoncé ces « actions d'ingérence » qui, selon elle, visent à déstabiliser le scrutin et à imposer un dirigeant favorable aux intérêts américains.












