Cependant, à cette première crise s'est ajoutée la reconnaissance de « problèmes de qualité » sur certains panneaux de fuselage métalliques, fournis par un sous-traitant. Ce défaut concerne à la fois des appareils actuellement en service et d'autres en cours de fabrication.
Bien qu'Airbus ait assuré que ce problème n'entraînait aucune perturbation du trafic pour les passagers et qu'il était « identifié » et « circonscrit », l'accumulation de ces nouvelles a ravivé les craintes d'un ralentissement des livraisons, un enjeu financier majeur pour l'entreprise.
Ces incidents en série ont lourdement pesé sur la confiance des investisseurs, entraînant une chute spectaculaire de l'action Airbus à la Bourse de Paris. La situation met en lumière les tensions sur la chaîne de production et les défis industriels auxquels le constructeur doit faire face pour maintenir ses objectifs de livraison.












