Ce site n'est pas anodin : il abrite des installations de la Direction du renseignement militaire (DRM), ce qui en fait une cible particulièrement sensible.

Pour l'heure, les autorités n'ont pas identifié les opérateurs des drones ni leurs motivations, et se montrent prudentes.

Une porte-parole de l'AAE a indiqué que "tout lien avec des provocations étrangères est à ce stade prématuré". La répétition de ce type d'incidents sur des sites stratégiques pour la défense nationale est source d'inquiétude et pose la question de la vulnérabilité des infrastructures militaires face à cette nouvelle forme de menace. Les articles de presse se font l'écho de cette interrogation, demandant : "Qui veut créer la panique ?

".

Une enquête a été ouverte pour faire la lumière sur ces survols mystérieux.