L'humoriste avait fait l'objet d'une enquête pour viol, qui s'est conclue par un non-lieu confirmé en appel.

Selon une vidéo publiée lundi, Brigitte Macron aurait qualifié les militantes de "sales connes" en s'adressant à l'artiste.

L'entourage de l'épouse du chef de l'État a par la suite tenté de calmer la situation, expliquant qu'il s'agissait d'"une critique de la méthode radicale employée" par le collectif. Cependant, la controverse a rapidement enflé.

Le collectif #NousToutes a répondu aux propos de la Première dame.

Des personnalités politiques ont également réagi, comme l'ancien président François Hollande qui a évoqué un "problème de vulgarité", ou encore Agnès Evren, porte-parole des Républicains, qui a jugé les propos "très sexistes". L'affaire a été largement commentée dans les médias, notamment dans les émissions de Pascal Praud, où des chroniqueurs ont dénoncé des "féministes en carton".