Cette mesure vise à protéger les adolescents des dangers inhérents au numérique, tels que le cyberharcèlement, l'exposition à des contenus inappropriés et les risques pour la santé mentale.

Le président a également souligné l'impact négatif du temps d'écran sur la réussite scolaire. La proposition française s'inscrit dans un mouvement plus large en Europe, où des pays comme la Norvège et le Danemark réfléchissent également à des mesures similaires.

Le principal défi reste d'ordre technique : comment les plateformes pourront-elles vérifier de manière fiable l'âge de leurs millions d'utilisateurs sans porter atteinte à la vie privée ?

Des solutions sont à l'étude, comme celles développées par des entreprises spécialisées, mais leur mise en œuvre à grande échelle représente un enjeu considérable.

Cette initiative présidentielle ouvre un débat de société majeur sur l'équilibre entre protection de la jeunesse et libertés numériques.