Les examens concernés sont spécifiquement un « prélèvement sanguin et urinaire », ainsi qu’un « prélèvement de cheveux, lorsque la consultation a lieu plus de 5 jours suivant les faits donnant lieu à prescription ou si la situation clinique le nécessite ». Cette mesure a pour objectif de lever les freins financiers qui peuvent dissuader les victimes de faire pratiquer ces analyses, pourtant cruciales pour la caractérisation des faits et d'éventuelles poursuites judiciaires.

À l'issue de cette phase de test, le Parlement sera invité à se prononcer sur une possible généralisation du dispositif à l'ensemble du territoire national.