Cette prise de position intervient alors que le parc Marineland a fermé ses portes le 5 janvier dernier, en raison d'une baisse de sa fréquentation.

Cependant, la direction du parc s'oppose fermement à cette solution.

Elle la qualifie d'« hypothétique et inexistante », arguant qu'elle « n'offre ni calendrier précis ni garantie pour le bien-être des animaux ».

Ce désaccord crée une situation de blocage quant au futur des deux orques, prises entre une volonté politique de privilégier une solution alternative à la captivité et les critiques du parc sur la faisabilité et la sécurité du projet de sanctuaire canadien.