Le bilan est lourd : quinze personnes tuées et quarante-deux blessées.
Parmi les victimes décédées figure un ressortissant français de 27 ans, Dan Elkayam, originaire du Bourget. Un autre Français a été blessé. L'un des assaillants a été abattu par la police, tandis que son fils a été hospitalisé dans un état critique.
Le Premier ministre australien, Anthony Albanese, a qualifié l'acte de « maléfique » et a affirmé que l'attaque semblait « motivée par l’idéologie de l’État islamique ». Cet événement, considéré comme la pire attaque terroriste de l'histoire du pays, a entraîné une réponse sécuritaire immédiate en France, où le ministre de l'Intérieur, Laurent Nuñez, a ordonné le renforcement de la sécurité autour des synagogues et autres lieux de culte israélites. Le Parquet national antiterroriste (PNAT) français a ouvert une enquête pour « assassinat en relation avec une entreprise terroriste ».
L'acte héroïque d'Ahmed Al Ahmed, un vendeur de fruits qui a désarmé l'un des tireurs, a été salué, et une cagnotte en son soutien a récolté plus de 700 000 euros.
Des hommages aux victimes ont eu lieu à travers le monde, notamment à Paris et Tel-Aviv.











