Cependant, cette décision divise.

La France, par la voix de sa ministre de la Transition écologique, "regrette la flexibilité ouverte aux véhicules thermiques", tandis que les organisations environnementales s'inquiètent des conséquences sur les engagements climatiques de l'UE, rappelant que les voitures représentent 12% des émissions de gaz à effet de serre du continent.