Cette concession, exigée par le Parti socialiste en échange de son soutien, a été cruciale pour l'adoption du texte. Le budget 2026 prévoit également des mesures concernant les arrêts de travail et les dépenses de santé, dans un contexte de déficit persistant de la Sécurité sociale. L'adoption de ce PLFSS contraste avec la situation de l'année précédente et permet à la France d'aborder 2026 avec un budget social validé par le Parlement. Ce succès pour le gouvernement, obtenu au prix de négociations et de compromis, notamment avec la gauche, illustre une nouvelle dynamique parlementaire.

Il reste cependant à voir si cette méthode pourra être reproduite pour le budget de l'État, dont les tractations en commission mixte paritaire s'annoncent encore tendues.