Parallèlement, la rhétorique envers le Venezuela s'est durcie.

Donald Trump a déclaré ne pas exclure une guerre directe, une posture que certains analystes lient à la volonté de "s'approprier le pétrole" vénézuélien.

Cette menace verbale s'est accompagnée d'actions concrètes, avec la saisie par les États-Unis d'un deuxième pétrolier, le Centuries, transportant du brut destiné à la Chine.

Le gouvernement de Nicolas Maduro a qualifié cet acte de "vol".

Un expert interrogé par les médias estime que sur ce dossier, "il est évident que Trump suit l'exemple de Poutine" et pourrait aller "jusqu'au bout".