La réaction du marché a été sans équivoque : l'action a bondi de 8,21%, les analystes jugeant le message du nouveau dirigeant « offensif » et ses premières mesures comme allant « dans la bonne direction ».

L'an passé, le titre avait perdu près d'un quart de sa valeur, suscitant des critiques. Les syndicats français se sont montrés très inquiets, accusant la direction de vouloir simplement « redresser le cours de Bourse » et liant ces suppressions à l'arrivée de l'intelligence artificielle qui pourrait remplacer des salariés, notamment des cadres. Le groupe a par ailleurs relevé son objectif de réductions de coûts, renforçant la confiance des investisseurs dans sa volonté d'améliorer la rentabilité.