Le titre de l'ancienne filiale d'Accor, qui avait connu une période difficile en Bourse, s'est envolé de 19,64% mardi.
Cette « révolte en Bourse » a été alimentée par plusieurs facteurs positifs.
Premièrement, le groupe a dévoilé un chiffre d'affaires opérationnel pour le troisième trimestre de 667 millions d'euros, affichant une croissance organique de 8,2%, une performance jugée de « qualité et très supérieure aux attentes » du consensus.
La dynamique a même accéléré par rapport aux deux premiers trimestres.
Deuxièmement, la direction a confirmé son objectif de croissance de l'excédent brut d'exploitation de plus de 10% pour l'exercice, une ambition jugée prudente par certains analystes.
Enfin, et c'est un point crucial qui a rassuré les investisseurs, la direction a minimisé les risques réglementaires en France et au Brésil.
Concernant la France, des amendements ont été déposés pour retirer du projet de loi de finances 2026 une potentielle cotisation patronale de 8% sur les titres-restaurant. Ces nouvelles, sur un titre qui avait été « complètement massacré en Bourse », ont facilité un rebond puissant, redonnant de l'air à l'action.












