Le chiffre d'affaires est désormais attendu entre 790 et 820 millions d'euros (contre 750-800 millions auparavant), et le résultat brut d'exploitation (EBITDA) entre 530 et 550 millions (contre 490-520 millions).

L'optimisme est également de mise à moyen terme, la levée d'un moratoire aux États-Unis sur de nouveaux projets de GNL ayant relancé les investissements et donc les besoins futurs en navires. L'action a progressé de plus de 7 % sur la seule séance du 3 novembre, confirmant la confiance des investisseurs dans le positionnement de quasi-monopole de l'entreprise.