Le patron Bob Iger a reconnu que "tous les films ne marchent pas", tout en se montrant "très optimiste" pour l'exercice 2026 grâce à une série de grosses productions prévues.

La télévision traditionnelle a également souffert, avec un recul de 16% dû notamment à la baisse des recettes publicitaires. Ces mauvaises performances ont masqué les points positifs, notamment la croissance de la division "Experiences" (parcs d'attraction et croisières) de 6% et surtout la progression marquée du streaming (+8%). Six ans après son lancement, le service de vidéo à la demande est devenu une source de profits importante, avec un bénéfice opérationnel en accélération de 39% sur le trimestre.

Malgré un bénéfice par action ajusté supérieur aux attentes (1,11 dollar), les investisseurs ont préféré sanctionner la faiblesse des activités historiques.