La nouvelle a été perçue comme un coup dur pour les minoritaires, qui se sentent désormais « prisonniers » d'un véhicule décoté.

La réaction des marchés a été immédiate et violente, effaçant plusieurs milliards d'euros de capitalisation boursière. Cette saga judiciaire met en lumière la technique du « contrôle rampant » et soulève des questions importantes sur la gouvernance d'entreprise et la protection des actionnaires minoritaires en France.

L'affaire est suivie de près car elle pourrait faire jurisprudence.