Cet optimisme a permis à l'action de progresser, gagnant 3,61% lors d'une séance.

Simultanément, sur le front politique français, l'Assemblée nationale a adopté en première lecture une proposition de loi du groupe La France Insoumise (LFI) visant à nationaliser ArcelorMittal France, dans un contexte de difficultés pour la filière sidérurgique nationale. Le gouvernement s'est opposé à cette mesure, le ministre de l'Économie Roland Lescure la qualifiant de "réponse populiste à un problème structurel". Le marché n'a que peu réagi à cette nouvelle, le cours de l'action prenant même 0,49% à 36,83 euros lors de la séance concernée, ce qui suggère que les investisseurs jugent le risque de nationalisation faible et se concentrent davantage sur les opportunités commerciales à l'échelle internationale. L'entreprise se retrouve ainsi à l'intersection d'enjeux géopolitiques mondiaux et de débats politiques nationaux.