Cette croissance externe est cruciale pour rattraper son retard sur son principal concurrent, Ayvens (contrôlé par Société Générale), devenu leader mondial du secteur.

L'opération confèrera également à Arval un pouvoir de négociation accru auprès des constructeurs automobiles.

Cette acquisition s'inscrit dans une stratégie plus large de gestion active du portefeuille de BNP Paribas, qui mène en parallèle des négociations pour céder sa filiale marocaine, BMCI. La banque réalloue ainsi son capital vers des métiers jugés plus porteurs et stratégiques, démontrant son ambition de devenir un acteur encore plus dominant dans les services de mobilité.