Bien que les revenus d'Oracle soient en hausse, sa rentabilité devrait chuter et l'entreprise pourrait consommer de la trésorerie jusqu'en 2030, selon une analyse.

De plus, la société est décrite comme "très endettée", ce qui la rend plus vulnérable dans le contexte actuel. La trajectoire du titre Oracle, ainsi que celle d'autres acteurs comme Broadcom, est symptomatique d'un mouvement de rééquilibrage sur les marchés, où les investisseurs opèrent une rotation hors de certaines "mégacapitalisations" technologiques au profit d'autres segments.

Le marché semble faire une distinction plus nette entre les entreprises aux bilans solides et celles dont le modèle économique lié à l'IA suscite des doutes, sanctionnant durement ces dernières.