Ces mouvements, combinés à une accumulation par les grands investisseurs, dessinent un avenir complexe pour la deuxième plus grande cryptomonnaie.
Un événement marquant a été la plongée des frais de gaz à 0,067 gwei, un niveau jamais vu depuis des années, rendant les transactions sur Ethereum extrêmement abordables, à seulement quelques centimes. Si cette baisse est saluée par les utilisateurs, elle « soulève des questions sur la viabilité économique du modèle d'Ethereum ».
Parallèlement, le système de staking du réseau connaît une forte activité. Les données indiquent qu'environ 2,45 millions d'ETH sont en attente de retrait dans la file des validateurs, tandis que près de 1,5 million de validateurs attendent de rejoindre le système.
Cette situation signale une période chargée pour les participants qui privilégient le staking natif.
Dans ce contexte, les grands détenteurs d'ETH, ou « baleines », semblent se positionner stratégiquement.
Des observations on-chain montrent qu'ils « s'empiffrent d'ETH » en prévision d'une mystérieuse mise à jour nommée « Fusaka », suggérant une anticipation de mouvements de prix positifs.
Cette accumulation par les acteurs les plus importants contraste avec les ventes des plus petits portefeuilles, indiquant une divergence de stratégies sur le marché.












