L'affaire, restée discrète pendant des années, ressurgit dans un contexte de rivalité géopolitique accrue.

Le soupçon d'une « confiscation étatique » via une opération de renseignement transforme un dossier criminel en un affrontement diplomatique.

Cette accusation intervient alors que les États-Unis, de leur côté, renforcent leur lutte contre les escroqueries en cryptomonnaies basées en Asie du Sud-Est, annonçant vouloir « démasquer et poursuivre les criminels ». Ce face-à-face sur fond de cryptomonnaies illustre comment les actifs numériques sont devenus un nouvel enjeu dans les rapports de force entre les deux superpuissances, s'ajoutant aux tensions commerciales existantes.