Parallèlement, des analyses suggèrent une sous-évaluation massive de l'ETH, tandis que des mises à jour techniques témoignent de l'évolution continue du réseau.
Pour la première fois, le volume des contrats à terme sur l'Ether a dépassé celui du Bitcoin sur le CME, reflétant un repositionnement significatif des acteurs institutionnels et un intérêt croissant pour le deuxième plus grand actif numérique.
Cet événement intervient alors que plusieurs analyses de marché pointent vers un potentiel de croissance important pour l'ETH. Une étude de CryptoQuant, basée sur douze modèles de valorisation, conclut que l'Ether est actuellement « largement sous-évalué » selon neuf de ces modèles. Cette vision est partagée par les analystes de Santiment, qui confirment un scénario haussier basé sur les rendements des stablecoins.
Sur le plan technique, le réseau Ethereum continue d'évoluer avec une augmentation de sa limite de gaz à 60 millions, une première en quatre ans, visant à augmenter la capacité du réseau.
L'adoption de l'ETH ne se limite pas aux marchés financiers.
Le Bhoutan, un petit État himalayen, a montré son engagement envers la blockchain en stakant près d'un million de dollars en ETH via le validateur Figment.
Cette initiative s'inscrit dans une stratégie plus large d'intégration technologique et de souveraineté numérique, marquant une étape rare d'adoption par un État-nation. L'ensemble de ces développements, qu'ils soient financiers, techniques ou géopolitiques, dessinent une image dynamique et prometteuse pour l'avenir d'Ethereum, malgré un climat de marché globalement incertain.












