Cette mesure vise à lutter contre la fraude et l'évasion fiscales en assurant que l'administration dispose des données nécessaires pour vérifier l'exactitude des déclarations de revenus. Les sanctions en cas de manquement, d'omission ou d'inexactitude sont sévères, incluant des amendes et une possible requalification des gains.

La simple détention d'actifs, même sans transaction, devra être déclarée.

Par ailleurs, cette surveillance accrue soulève des questions complexes en matière de succession.

La transmission des actifs numériques après un décès reste un défi, et des solutions comme le « testament mystique », déposé chez un notaire, émergent pour sécuriser l'accès aux portefeuilles pour les héritiers.

Sur le plan fiscal, les plus-values restent imposées au Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) de 30 % ou au barème progressif, au choix du contribuable, avec un seuil d'exonération de 305 euros par an.