Jusqu'à présent, cet échange d'informations n'était requis qu'en cas de suspicion de blanchiment d'argent ou de financement du terrorisme.

Selon BFMTV, ce passage à un échange "automatique" vise à rendre les transactions plus transparentes.

En France, les détenteurs de cryptomonnaies restent soumis à l'obligation de déclarer leurs comptes et leurs plus-values, avec une imposition au prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30 % pour les gains supérieurs à 305 € par an.

Face à cette surveillance renforcée, certains utilisateurs pourraient se tourner vers des solutions décentralisées (DEX) ou des portefeuilles "froids" pour préserver leur anonymat. Cependant, des experts comme Renaud Lifchitz expriment des inquiétudes quant aux risques liés à la collecte massive de données, évoquant des menaces de fuites d'informations et des risques pour la sécurité physique des utilisateurs.