Les articles dressent un constat sévère de la situation des Canaris. Le mercato estival est qualifié de « pire de toute la Ligue 1 » par certains observateurs, pointant du doigt le départ de cadres comme Pallois et Chirivella, remplacés par des recrues qui peinent à convaincre, à l'exception notable de Junior Mwanga.
La gestion des propriétaires, la famille Kita, est une nouvelle fois remise en question. Sur le plan sportif, la plus grande préoccupation est la stérilité offensive. Avec seulement cinq buts marqués, l'attaque nantaise est décrite comme la « moins dangereuse de toute la Ligue 1 ».
Cette panne d'efficacité a conduit l'entraîneur Luis Castro à une décision tactique surprenante et révélatrice : faire entrer le défenseur central Uros Radakovic au poste d'avant-centre en fin de match contre Lille. Castro a justifié ce choix par la nécessité de peser dans le jeu aérien, une tentative désespérée qui illustre le manque de solutions.
Des analystes comme Maxime Chanot sur RMC Sport se montrent pessimistes, affirmant que « Nantes a tous les symptômes d’une équipe qui va descendre ».
Face à cette situation, la direction s'activerait déjà pour le mercato d'hiver, ciblant notamment le jeune milieu offensif polonais Tomasz Pienko.












