Ce chiffre place l'Hexagone loin devant les autres grandes nations du football.
Le Brésil, deuxième du classement, a généré significativement moins de revenus, tout comme l'Espagne, qui complète le podium.
Cette performance économique exceptionnelle souligne la qualité et la rentabilité des centres de formation des clubs de Ligue 1 et des divisions inférieures. Ces académies sont reconnues pour leur capacité à identifier, développer et polir de jeunes talents qui deviennent ensuite des cibles pour les plus grands clubs européens. Ce modèle économique est devenu une composante essentielle de la stratégie de nombreux clubs français, leur permettant de rester compétitifs financièrement malgré des droits TV souvent inférieurs à ceux des autres grands championnats. La vente de joueurs formés au club permet non seulement de réaliser des plus-values importantes mais aussi de réinvestir dans l'équipe première et dans les infrastructures de formation, créant ainsi un cercle vertueux. Ce triomphe de la formation française est un atout majeur pour l'ensemble de l'écosystème du football national, renforçant sa réputation de vivier de talents à l'échelle mondiale.











