La performance collective du PSG a été largement critiquée, l'équipe apparaissant émoussée et dominée physiquement par une formation bavaroise décrite comme une "machine de guerre".
Les articles soulignent un sentiment de fatigue général au sein de l'effectif parisien, comme l'ont admis Bradley Barcola et Khvicha Kvaratskhelia, qui ont évoqué un "enchaînement des matchs" qui "commence à tirer".
Le capitaine Marquinhos, fautif sur le deuxième but allemand, a également reconnu que de nombreux joueurs n'étaient pas à 100%.
L'entraîneur Luis Enrique a fait son mea culpa, reconnaissant une mauvaise gestion des retours de blessure : "Quand tu récupères des joueurs blessés, oui, ils ont récupéré mais ils ne sont pas en forme à 100%.
C'est une chose que je dois savoir mieux gérer."
Cette défaite, combinée aux blessures, est perçue comme une "piqûre de rappel" coûteuse pour le tenant du titre, qui voit son infirmerie se remplir à nouveau et ses certitudes ébranlées avant des échéances importantes, notamment le choc contre l'Olympique Lyonnais en Ligue 1.












