Selon le journaliste Loïc Tanzi, "le gros point noir à Monaco, c’est le vestiaire".
Il ne s'agirait plus d'un simple problème d'entraîneur, mais d'une fracture profonde entre les joueurs.
Les tensions auraient atteint un point critique après le match nul décevant (2-2) contre Paphos en Ligue des champions, où des joueurs auraient commencé à "se lâcher publiquement sur leurs coéquipiers". Le conflit principal opposerait les joueurs offensifs et défensifs, avec des reproches mutuels sur le manque d'efforts.
Cette division interne explique en partie l'inconstance de l'équipe, capable de belles performances contre de grosses équipes à domicile mais s'effondrant de manière spectaculaire par ailleurs.
L'entraîneur Sébastien Pocognoli se retrouve face à un défi immense : il doit non seulement redresser la barre sur le plan tactique, mais aussi "trancher" dans ce conflit pour restaurer l'unité du groupe.
La situation est décrite comme une "cocotte" qui "commence à bouillir", et sans une intervention ferme du coach, "Monaco ne s’en sortira pas".
Cette ambiance délétère constitue un handicap majeur avant d'affronter le leader parisien et menace de faire dérailler complètement la saison du club de la Principauté.











