"Quand tu prends un rouge, tu as souvent envie de changer quelque chose, mais parfois ce n’est pas la peine", a-t-il analysé, s'interrogeant sur la pertinence de maintenir une défense à trois centraux face à un seul attaquant adverse.

"Pourquoi changer ?

", a-t-il conclu, suggérant qu'une réorganisation plus simple aurait été plus efficace.

Au-delà des choix tactiques, l'attitude de l'entraîneur a également été pointée du doigt.

Un ancien arbitre international, invité sur RMC, a recadré le coach marseillais, le qualifiant de "mauvaise foi" dans ses commentaires sur l'arbitrage. Ces critiques suggèrent que De Zerbi aurait pu chercher à détourner l'attention de ses propres erreurs en se concentrant sur les décisions arbitrales. Cette gestion de la rencontre et de l'après-match a donc soulevé des doutes sur sa capacité à manœuvrer sous pression dans des rencontres européennes à fort enjeu.