L'Olympique de Marseille a subi une défaite en Ligue des Champions face au Sporting Lisbonne, un match marqué par la performance malheureuse de son défenseur Benjamin Pavard. Cet événement a déclenché une vague de critiques et de débats sur la gestion de l'équipe et la pression subie par ses joueurs clés. La défaite 2-1 de l'OM a été précipitée par une semaine difficile pour Benjamin Pavard, qui a commis une faute de main menant au second but du Sporting. Cet incident a été le point de départ d'une période compliquée pour le joueur, qui a enchaîné avec une autre prestation décevante en Ligue 1 contre Lens.
La réaction du monde du football ne s'est pas fait attendre, notamment de la part des consultants.
Jérôme Rothen et Christophe Dugarry ont vivement critiqué le message d'excuses publié par Pavard sur les réseaux sociaux, le qualifiant de « communication pure et simple » et de « totalement ridicule ».
Selon Dugarry, « si chaque joueur, à chaque fois qu’il y en a un qui rate quelque chose, se met à s’excuser, alors on ne s’en sort plus ».
À l'inverse, Eric Di Meco a pris la défense du joueur, traitant ses collègues de « vieux cons » et expliquant que cette forme de communication est propre à la nouvelle génération.
Cette polémique met en lumière un choc des cultures dans le football moderne.
Au-delà du cas Pavard, ces contre-performances successives en Ligue des Champions et en championnat fragilisent la position de l'entraîneur Roberto De Zerbi, dont les choix tactiques et la gestion du groupe sont désormais scrutés avec une attention accrue.
En résuméLa défaite de l'OM en Ligue des Champions contre le Sporting, exacerbée par l'erreur de Benjamin Pavard, a mis en lumière la fragilité de l'équipe sous pression. La controverse qui a suivi, alimentée par les critiques des consultants, révèle des tensions sur la communication des joueurs et la gestion de crise au sein du club marseillais.