Ses déclarations reflètent la pression que subit un effectif qui doit jongler entre les joutes européennes et les exigences du championnat national.
Après une nouvelle contre-performance, le technicien italien a pointé du doigt la difficulté de maintenir un haut niveau de performance avec un rythme de "trois matches par semaine".
Il a affirmé sans détour : "Si on n’arrive pas à s’habituer à ce rythme, il faut faire des choix, viser d’autres compétitions et d’autres clubs".
Cette déclaration forte, presque un ultimatum, révèle les tensions internes et le défi que représente la compétition pour un club comme l'OM. Il ne s'agit pas d'une plainte, comme il le précise ("on ne peut pas s’en plaindre"), mais d'un constat lucide sur la nécessité d'avoir une mentalité et une profondeur d'effectif adaptées à ces exigences.
D'autres articles rapportent son mécontentement et sa remise en question de la capacité de ses joueurs à être constants, un problème exacerbé par la fatigue physique et mentale. Pour De Zerbi, la participation à la Ligue des champions n'est pas seulement une récompense, c'est un test qui révèle si les joueurs et le club "méritent de faire partie de cet OM" ambitieux.












