Certains analystes, comme Daniel Riolo, tempèrent l'enthousiasme en soulignant que les véritables enjeux se joueront plus tard dans la compétition. La rencontre est unanimement décrite comme un "choc très excitant" entre deux des équipes les plus impressionnantes en Europe depuis le début de la saison. Cependant, le format de la phase de ligue offre une marge de manœuvre qui relativise l'impact d'une défaite à ce stade. Selon l'analyse de Daniel Riolo, ce match n'a pas un "caractère décisif dans la course à la qualification".

Cette perspective suggère que, bien que prestigieuse, la confrontation sert davantage de baromètre pour évaluer le niveau des deux équipes que de tournant pour leur avenir européen immédiat. L'analyste émet des "bémols" sur l'excitation ambiante, rappelant que la vérité de la compétition se révèle lors des phases à élimination directe.

Il affirme ainsi : "C'est en février-mars que ça commence vraiment".

Cette vision pragmatique invite à considérer ce match comme une étape importante mais non cruciale, un test de mi-parcours avant les batailles décisives du printemps.

La pression est donc plus sur la performance et la confiance à engranger que sur le résultat comptable brut.