Dès le début de la rencontre, le Bayern Munich a imposé une pression intense, étouffant les Parisiens et se créant de multiples occasions. La supériorité bavaroise s'est concrétisée par deux buts de Luis Diaz en première mi-temps, une période durant laquelle le PSG a été décrit comme ayant été « piétiné ». L'entraîneur Luis Enrique a reconnu la supériorité de l'adversaire et a admis sa part de responsabilité, notamment dans la gestion des joueurs revenant de blessure. Il a également déploré les erreurs de son équipe : « Si tu fais des cadeaux à ce niveau, c’est but et c’est fini ».

Malgré une meilleure seconde période, facilitée par l'expulsion de Diaz juste avant la pause, les Parisiens n'ont pas réussi à inverser la tendance.

Plusieurs joueurs, comme le capitaine Marquinhos, ont été critiqués pour leur prestation jugée défaillante.

La presse a été unanime pour souligner la performance du club allemand, qualifié de « machine de guerre » et de « patron », confirmant son statut de favori pour le titre. Cette défaite est perçue comme une « piqûre de rappel » pour les champions d'Europe en titre, qui ont mesuré l'écart qui les sépare encore du plus haut niveau.