Cette période de méforme sportive s'ajoute à des contraintes financières qui compliquent les ambitions du club catalan pour renforcer son effectif.
Un article souligne explicitement qu'après la cinquième journée de la compétition, "le FC Barcelone traverse une période compliquée", indiquant que les performances ne sont pas à la hauteur des attentes.
Cette situation sportive est intrinsèquement liée aux problèmes économiques bien connus du club.
Avec une dette s'élevant à plus de 150 millions d'euros en octobre, la direction se retrouve avec une marge de manœuvre très limitée sur le marché des transferts. Le besoin de renfort est pourtant criant, en particulier au poste d'avant-centre où Robert Lewandowski, âgé de 37 ans, arrive en fin de contrat.
L'entraîneur Hansi Flick et le directeur sportif Deco ont ciblé des joueurs de premier plan comme Julián Álvarez, mais le rêve du président Joan Laporta se heurte à la dure réalité financière.
La clause libératoire de l'attaquant argentin est fixée à 500 millions d'euros par l'Atlético de Madrid, un montant inaccessible pour les Blaugranas. De plus, le club madrilène n'a aucun intérêt à renforcer un concurrent direct.
Cette incapacité à attirer les talents nécessaires pour résoudre les problèmes sur le terrain crée un cercle vicieux, forçant la direction à "revoir ses plans" et limitant la compétitivité du Barça au plus haut niveau.












