Les articles décrivent une « crise qui couve » ou « qui ne dit pas son nom », alimentée par des résultats en dents de scie et une récente défaite à Brest en championnat.

Le club est « quasiment dans l'obligation de l'emporter » pour ne pas voir ses espoirs européens s'évanouir.

La pression est double, car elle est à la fois sportive et populaire.

Les ultras du club, mécontents, envisagent de manifester leur colère, ce qui ajoute une tension supplémentaire autour de cette rencontre à domicile au stade Louis-II. L'entraîneur, Sébastien Pocognoli, est conscient de l'enjeu et a déclaré en conférence de presse que « toutes les victoires sont nécessaires dans cette période ». Ce match est donc perçu comme une opportunité de « calmer » la crise et de relancer une dynamique positive avant d'affronter des adversaires redoutables comme le Real Madrid et la Juventus pour conclure la phase de ligue. Une contre-performance pourrait non seulement compromettre la suite du parcours européen, mais aussi aggraver les tensions internes sur le Rocher.