Cette déclaration souligne le respect qu'inspire le champion d'Europe en titre sur la scène continentale.
Malgré un succès de prestige au Santiago Bernabéu, le technicien catalan a rapidement tempéré l'euphorie. En conférence de presse, il a clairement établi une hiérarchie : "Pour avoir joué beaucoup de demi-finales et finales de C1, je sais qu’on doit s’améliorer et que ce niveau ne sera pas suffisant si on rencontre des équipes comme le PSG et si on veut atteindre au moins le dernier carré".
Cette déclaration n'est pas anodine.
Elle positionne le PSG, champion en titre, comme l'étalon à l'aune duquel se mesurent les ambitions des autres grands clubs.
Même si le début de saison des Parisiens est jugé "perfectible" et qu'ils pointent à la 3e place de la phase de ligue, Guardiola les considère comme une menace majeure. Ses propos servent un double objectif : maintenir la concentration de ses propres joueurs en évitant tout excès de confiance, et reconnaître publiquement la force de frappe et le statut du club parisien, qui inspire la crainte chez ses rivaux européens.











