Ces révélations ont alimenté les discussions sur les logiques d'affinités et d'objectivité dans ce type de scrutin.
Le fait le plus marquant, largement relayé, est le vote d'Achraf Hakimi, capitaine du Maroc.
Coéquipier du vainqueur Ousmane Dembélé et de Kylian Mbappé, il a choisi de placer Mbappé en première position, reléguant Dembélé à la deuxième place.
Ce choix a été interprété par certains comme une "trahison", soulignant le lien fort entre Hakimi et Mbappé.
Autre point notable, l'absence de vote de Kylian Mbappé lui-même. En tant que capitaine de l'équipe de France, il n'a pas participé au scrutin pour la deuxième année consécutive, un silence qualifié de "vote fantôme" qui interroge. À l'inverse, d'autres capitaines ont fait des choix forts, comme Lionel Messi qui a placé Ousmane Dembélé en tête de son vote, devant Mbappé.
Le sélectionneur français Didier Deschamps a également voté pour Dembélé en premier.
Ces différents votes illustrent la complexité du scrutin, où se mêlent considérations sportives, relations personnelles et peut-être même des stratégies de communication, offrant un aperçu fascinant des dynamiques internes du football mondial.












