Cette mesure vise à répondre à l'urgence sociale et à garantir que "tout le monde puisse vivre à Lyon".
Cette proposition s'inscrit dans une logique d'interventionnisme public fort pour réguler le marché et lutter contre la spéculation immobilière, un axe central du programme de La France insoumise. Sur le volet de la sécurité, Anaïs Belouassa-Cherifi confirme également la doctrine de son parti en prônant le désarmement de la police municipale. Elle justifie cette position par une volonté de privilégier une police de proximité, axée sur la médiation plutôt que sur la répression. En complément, elle propose de supprimer les caméras de vidéosurveillance, arguant que les fonds ainsi économisés permettraient de recruter davantage d'agents de terrain. Ces propositions tranchent avec les politiques sécuritaires menées dans de nombreuses grandes villes et placent la candidate LFI dans une position singulière, qui pourrait à la fois mobiliser son électorat et susciter de vifs débats durant la campagne.










