Cette convergence thématique est frappante.

Pierre Lagonelle insiste sur la nécessité d'une "forte présence sur le terrain".

Kévin Gracia, du collectif Unitaires, promet "le droit à la tranquillité pour toutes et tous" et propose un plan innovant mêlant prévention et sanctions, avec une "Maison de la tranquillité publique".

De son côté, Michel Garnier, qui se positionne clairement sur une ligne de fermeté, affiche un triptyque sans équivoque : "Autorité, respect, fermeté.

Tolérance zéro".

Brahim El Batbouti abonde dans le même sens, réclamant "plus de policiers et de vidéo-surveillance" pour assurer la sécurité des habitants. Enfin, Pascal Claverie, qui se présente également, martèle que "la sécurité n'est pas une question d'étiquette, mais une question de volonté politique" et en fait sa "priorité absolue".

Cette unanimité sur le diagnostic et les solutions proposées, bien que déclinées avec des nuances, indique que l'insécurité est perçue comme la préoccupation majeure des électeurs tarbais.

La campagne s'annonce donc comme une bataille où chaque candidat cherchera à convaincre de sa capacité à restaurer l'ordre et la sérénité dans la ville.