Elle a reçu l'appui du ministre Benjamin Haddad, qui voit en elle la seule capable de "faire gagner Paris", illustrant les divisions au sein du camp macroniste.

Ce dernier est en effet fragmenté, avec la candidature de Pierre-Yves Bournazel (Horizons), proche d'Édouard Philippe, qui se présente comme une alternative.

Il se sent pousser des ailes, fort du soutien de Renaissance, et cherche à incarner une voie médiane.

Cette multiplication des candidatures au centre et à droite pourrait complexifier le scrutin, tandis qu'à gauche, Emmanuel Grégoire devra rassembler au-delà du Parti socialiste pour espérer conserver la mairie face à une opposition déterminée.