Un dossier spécial révèle que les sept prétendants ont élaboré des programmes détaillés sur ce sujet.
Eric Peyrègne, tête de liste de l'Union des droites (RN/UDR), propose la mesure la plus radicale : "multiplier par trois l'effectif de la police". De son côté, Pierre Lagonelle insiste sur la nécessité d'une "forte présence sur le terrain". Brahim El Batbouti, quant à lui, appelle à "plus de policiers et de vidéo-surveillance", une vision partagée par Kévin Gracia qui milite pour "le droit à la tranquillité pour toutes et tous" et suggère la création d'une "Maison de la tranquillité publique".
Michel Garnier, prônant "Autorité, respect, fermeté.
Tolérance zéro", s'inscrit également dans cette ligne dure.
Cette convergence thématique montre que l'insécurité est perçue comme une attente prioritaire des électeurs tarbais.
Chaque candidat cherche à se différencier par l'ampleur des moyens à déployer et par des propositions spécifiques, comme des commissions sur la vie nocturne, mais le diagnostic de base reste unanime : la ville a besoin de plus de sécurité.
Ce consensus transforme la campagne en une surenchère de mesures sécuritaires, reléguant potentiellement d'autres enjeux municipaux au second plan.











