Un sondage commandé par la fédération PS de Seine-Maritime place Nicolas Mayer-Rossignol largement en tête des intentions de vote, avec 32 % dans un scénario de gauche divisée et 42 % en cas d'union partielle (PS-PCF-EELV).
Ce résultat conforte sa position de leader naturel.
Cependant, l'union de la gauche est loin d'être acquise, notamment avec son adjoint écologiste Jean-Michel Bérégovoy qui a déjà lancé sa propre campagne. La stratégie de Nicolas Mayer-Rossignol est claire : utiliser sa popularité et son bilan pour unifier son camp.
Il insiste sur le collectif et critique les "aventures personnelles", une pique directe à son concurrent écologiste. Il a réuni son collectif "Fiers de Rouen" pour présenter son bilan "Engagements tenus !"
et martèle que s'il est candidat, ce sera pour la Ville et la Métropole, soulignant l'interdépendance des deux échelons. L'élu socialiste se positionne comme "l'artisan du rassemblement" face à "l'extrême-droitisation de la société", espérant que ses alliés potentiels ne prendront pas le risque de la division.










