Il présente cette candidature comme sa dernière, avec pour objectif de défendre et de poursuivre les politiques publiques mises en place au cours de ses mandats successifs.

Cependant, un changement majeur marque cette nouvelle campagne : contrairement aux scrutins précédents, il ne bénéficiera pas du soutien des Écologistes.

Ces derniers ont en effet décidé de monter leur propre liste, créant une division au sein de la gauche blésoise.

Cette rupture de l'alliance historique pourrait fragiliser la position du maire sortant et ouvrir le jeu politique. La décision des Écologistes de faire cavalier seul témoigne des tensions et des divergences stratégiques qui traversent la gauche dans de nombreuses villes, où l'équilibre entre socialistes et écologistes est de plus en plus difficile à maintenir à l'approche des échéances électorales.