Ces ajustements procéduraux visent à moderniser et à clarifier le cadre des élections locales.
Nouvelles règles électorales pour le scrutin de 2026
Les élections municipales de 2026 verront l'application de nouvelles règles électorales, notamment un changement du mode de scrutin dans les communes de moins de mille habitants et la fin du vote par correspondance pour les détenus. Le ministère de l'Intérieur a confirmé les dates clés du scrutin de mars 2026, avec des échéances précises pour l'inscription sur les listes électorales et le dépôt des candidatures. Une modification significative concerne les communes de moins de 1 000 habitants, où le mode de scrutin va évoluer, bien que les détails précis ne soient pas fournis dans les articles. Cette réforme vise potentiellement à simplifier le processus dans les plus petites municipalités. Par ailleurs, le processus électoral est annoncé comme étant "plus clair" pour les trois plus grandes villes de France : Paris, Lyon et Marseille. Un autre changement notable est la suppression du vote par correspondance pour les personnes détenues, une mesure qui modifie les conditions d'exercice du droit de vote pour cette population. Enfin, une proposition de loi visant à créer un fichier centralisé des personnes inéligibles est également mentionnée, dans le but de faciliter les vérifications des candidatures par les services préfectoraux.


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Par AFP © 2025 AFP Emmanuel Macron conclut vendredi sa tournée en Amérique latine par une visite à Mexico, où il entend "resserrer les liens" politiques et économiques entre la France et le Mexique, un an après l'entrée en fonctions de la présidente de gauche Claudia Sheinbaum.Attendu dans la nuit de jeudi à vendredi en provenance du Brésil, le président français veut "resserrer les liens politiques et stratégiques" avec ce pays membre du G20 avec lequel "on partage beaucoup de valeurs" sur "le respect des règles fondant l'ordre international, le respect du multilatéralisme", a dit l'Elysée aux journalistes."La visite a aussi pour vocation d'approfondir nos liens économiques avec le Mexique", a ajouté un conseiller du chef de l'Etat."Ce sera l'occasion d'annoncer une accélération de notre coopération dans tous les domaines : économique, universitaire, scientifique, culturel, mais aussi en matière d'environnement, de santé, et de sécurité", a déclaré pour sa part le chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot.Le dernier déplacement sur place d'un président français, François Hollande, remonte à onze ans.Emmanuel Macron doit s'entretenir dans la matinée avec son homologue mexicaine. Les deux présidents réuniront ensuite des dirigeants d'entreprises françaises et mexicaines.Le Mexique est le premier pays latino-américain investisseur en France, tandis que la France se classe comme le 11e investisseur étranger au Mexique.Au-delà de cet aspect économique, Claudia Sheinbaum a clairement fait savoir que pour Mexico, la priorité de cette visite était la demande de retour d’œuvres illustrant la vie et les croyances de la civilisation Mexica, anciennement appelée aztèque, conservées aujourd'hui en France."Nous sommes très intéressés par certains +codex+", "que nous souhaitons voir arriver au Mexique. C'est notre principal intérêt", a dit la présidente la semaine dernière à la presse. Ils "sont très importants pour le Mexique".Il s'agit notamment du "Codex Borbonicus", conservé à l'Assemblée nationale française, composé de 36 feuilles en écorce de ficus, et long de 14 mètres."C'est un dossier important sur lequel nous avons un dialogue qui est très ouvert avec les Mexicains", a assuré l'Elysée avant le déplacement, soulignant la mise en place depuis septembre "d'un groupe de travail franco-mexicain qui rassemble nos meilleurs experts sur ces sujets"."Toutes ces initiatives conjointes, on espère pouvoir en parler à Mexico", a assuré la présidence française.




