Sa démarche lui a valu une suspension de son parti, EELV, et un éloignement du Printemps marseillais, qu'il n'avait rejoint qu'au second tour en 2020.

Cette nouvelle alliance avec LFI pour le premier tour de 2026 semble donc fermer la porte à une liste commune avec la majorité sortante d'emblée. Toutefois, le collectif Vaï se dit favorable à une alliance au second tour, « que nous soyons en tête ou non », s'inscrivant « dans un esprit de rassemblement de toute la gauche, dont le périmètre avait été tracé à la fois par la NUPES et le NFP ».

Pour l'instant, aucune tête de liste n'a été officiellement désignée, ni pour Vaï, où Sébastien Barles est pressenti, ni pour LFI, où les noms des députés Sébastien Delogu et Manuel Bompard circulent.

Cette union précoce à gauche contraste avec la situation à droite, où plusieurs candidatures sont déjà déclarées, notamment celle de Martine Vassal (divers droite) et de Franck Allisio (RN).