Sa première proposition phare est d'installer « au moins une caméra de vidéo-protection » dans chaque rue de Toulouse.

Il s'engage également à ne pas augmenter la taxe foncière pour les particuliers et les entreprises, tout en étendant la mutuelle communale à tous les Toulousains. Avec son slogan « Protégeons l’avenir », il met en avant son bilan, citant la troisième ligne de métro, le développement des transports et la végétalisation. Le maire sortant cherche à constituer une liste de « rassemblement », composée pour moitié de personnalités non encartées, et promet une gouvernance partagée à la métropole.

Il se positionne clairement contre ce qu'il nomme « le danger mélenchoniste », incarné par son principal adversaire déclaré, le député LFI François Piquemal, appelant à se concentrer sur les « enjeux locaux » plutôt que sur la « politique nationale ». À 65 ans, il évoque aussi la « transmission du flambeau » à l'avenir, tout en se disant « très serein » face à une plainte d'Anticor pour « détournement de fonds publics » qu'il qualifie de manœuvre politique.